Le front d'opposition à la nouvelle année a fait des émules à Genève. Un proche, pensif et sérieux, se demande pourquoi nous persistons à fêter la nouvelle année quand il faudrait faire un enterrement de première classe à celle à peine écoulée. Quant à moi, plutôt que de me poser de si graves questions existentielles, je préfère aller célébrer le passage du 1er au 2ème de l'an avec une bande de potes qui ont fait des restes (du nouvel an) la fête la plus courue de la région. A vous tous, une excellente année, nouvelle ou pas.